L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
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Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
Ô Vous lecteur ,lectrice, qui avez longtemps deploré l'état lacunaire de ce sombre récit inachevé ( sans conter les multiples fautes d'orthographes.) Je suis en mesure TEMPORAIREMENT ( et je le souligne en plus pour souligner le fait que ce n'est que temporaire, et je le met en gras et en italique pour donner l'impression de surpuissance à la phrase ou au mot, comme vous voulez) de vous conter, de vous révéler, de vous faire decouvrir, de vous faire ... ... enfin bon de vous raconter la suite ...
( et pour les flemmards qui ont toujours eu la flemme de vagabonder au milieu des pages pour suivre l'histoire, voici l'intégralité ( 26€ les 7 tomes ^^) de ce que j'ai pu écrire...
Notre histoire commence a Kerpouic ( haute Bretagne nord) chez John Petebo, jeune breton d'une illustre famille d'artisan breton qui pratiquait la poterie, naguère leur gloire et leur art avaient atteint leur apogées mais hélas la boutique de chamalo grillé d'à côté leur a opposé une concurrence contre laquelle ils ne pouvaient résister bien longtemps. Hélas aujourd'hui cette prestigieuse famille n'a laissé derrière elle qu'un orphelin de 21 ans, impulsif et timide à la fois. John était aussi d'une nature assez bagarreuse et son caractère lui attirait plus d'ennuis qu'il n'en résolvait mais il s'y était fait avec l'âge. Blond, une large mèche déviée sur le côté cachait la moitié droite de son visage, l’œil gris , le nez fin et la bouche serrée. Il restait derrière le comptoir de son magasin de poterie a regardé passer devant lui les grand mères et les grand pères se plaindre du chat de la voisine. Bien qu'il fut un humble marchand parmis les humbles marchands, John ne gagnait pas un sou, pas la moindre piècette d'or, le moindre sersterce, le moindre euro non plus...
Hélas un jour il prit une décision et annonça haut et fort :
- Les clients ne s’intéressent plus au poterie, c’est fort dommage car aujourd’hui la dynastie Poterie Petebo est révolue, je m’en vais réaliser mon rêve d’enfance, dans deux jours je m’engage dans la marine marchande.
Si tôt dit si tôt fait il se pressa d’expulser les quelques vieillards cacochymes qui bloquaient la porte puis il alla fouiller le magasin de fond en comble pour finir par fourrer dans son sac plusieurs objets inutiles qu’il pensa judicieux d’apporter avec lui. Lorsque tout fut fin près il sortit de son magasin et réussit tant bien que mal à vendre son magasin à un prix fort honnête à un soit disant pêcheur des caraïbes qui lui paraissait louche. Cheveu long brun, maquillage autour des yeux, un bandana sur laquelle une pièce de huit pendait, un os d’un animale était inconnu par John dans les cheveux. L’étranger portait une fine moustache et lorsqu’il se la lissa a l'aide de ses doigts John remarqua qu’il possédait toutes sortes de bagues et de bijoux farfelus. Mais le plus étrange dans tous ceci c'est que le bonhomme avait une façon de marcher et de parler d’un homme saoûl et sentait particulièrement le rhum. Grâce à l’argent du magasin il acheta vivres et équipements. Mais Horreur il réalisa, mais un peu tard, qu’il n’avait pas acheté d’armes et d’armures et se jura de ne plus l’oublier. Il alla mendier les magasin d’armes pour un prêt
mais ceux-ci rièrent à son nez et le jetèrent dehors sans plus tarder.
Alors John seul dehors, triste et abandonner, se maudit, lui et son malheur. Devant tant de désespoir, la douce et petit fille qui l’observait de loin ne pu s’empêcher d’aller lui porter secours.
Elle se plaça devant lui
-bonjour
John regarda son interlocutrice dans les yeux et grogna :
-bonjour
-Vous voulez acheter une arme, dit-elle le sourire au lèvre
il se lamenta :
-j’aurai aimer parcourir les mers la lame a la main, le bouclier au bras et le courage au cœur., mais je ne le peut.
- si vous le voulez mon père saura vous fournir ce qu’il vous manque, dit la jeune fille ravie pouvoir faire cesser le calvaire du beau jeune homme, mon papa est le meilleur du monde et c’est le plus gentil.
L’œil de John se mit a briller tel la flamme du phare que l’on peut observe par le balcon le soir .et il suivis la fillette jusque dans la rue ou il avait tenu son ancienne boutique . Et la BAF HORREUR ! la jeune fille rentre cher le pire concurrent le vendeur de chamalo grillé. Il la suivis tout de même l’espoir au cœur.
- PAPA, y a le monsieur dans face qui veux te parler !
Un homme d’âge mur sorti d’un coin de la boutique ses yeux me défigurèrent puis il m’inspecta. Il garda un air peu confiant et dit :
- hum ! comme quoi le destin ne vous a pas réserver bonne accueille dans notre monde , John baissa honteusement la tête puis dit :
- je vais me présenter dans la marine marchande et m’y enrôler mais j’aurais besoin d’une lame et d’une armure adéquate.
- Les armures ne sont pas bon marché en se moment quel se qui pourrais vous faire croire que je vais vous en acheter une
- Je ne le sais, mais votre fille me la proposer
D’un seul coup la jeune fille dit :
- papa, mais papa donne lui se qu’il demande j’en ai vu une dans la galerie, et puis tu est le plus gentil des papas, dit t’elle avec un sourire niait et les yeux en étoiles.
- Ma petit fille c’est d’accord.
Puis le vendeur de chamalo grillé se tourna vers moi et dit :
- il se trouve en effet que je sois prédisposer a donner cette armure mais a une seule condition !
John se prépara au tout puis il dit déterminé :
- laquelle ?
l’homme lui fit signe de pénétrer dans le coin du il était sortit
- venez
le coin était en faite un merveilleux rideau de chamalo qui se fondait absolument avec le mur .puis au milieu des bourse de diverse sorte de chamalo il découvrit l’armure … avec ses deux lame au Foureau
C’était une magnifique armure de plaque étincelante en fer forger, chaque bordure était dorer mais il remarqua un petit dessins dessus et en s’approchant il eu bien fait de refuser l’offre car devant ses yeux ébahi chaque pièce de l’armure était composer des armoiries Chamolo yves grillé. C’était une armure pour faire de la pub au chamalo !!!!
C’était une armure pour faire de la pub au chamalo !!!!
- voilà, dit le vendeur de chamalo, c’est une armure pour la pub alors vous qui allez voyager je vous serez gré de bien vouloir la prendre. Et puis même si nous avons été concurrent tu n’est plus un potier alors sans rancœur.
- Heu… oui sans rancœur, dis John et il se serrèrent la main.
( et pour les flemmards qui ont toujours eu la flemme de vagabonder au milieu des pages pour suivre l'histoire, voici l'intégralité ( 26€ les 7 tomes ^^) de ce que j'ai pu écrire...
Notre histoire commence a Kerpouic ( haute Bretagne nord) chez John Petebo, jeune breton d'une illustre famille d'artisan breton qui pratiquait la poterie, naguère leur gloire et leur art avaient atteint leur apogées mais hélas la boutique de chamalo grillé d'à côté leur a opposé une concurrence contre laquelle ils ne pouvaient résister bien longtemps. Hélas aujourd'hui cette prestigieuse famille n'a laissé derrière elle qu'un orphelin de 21 ans, impulsif et timide à la fois. John était aussi d'une nature assez bagarreuse et son caractère lui attirait plus d'ennuis qu'il n'en résolvait mais il s'y était fait avec l'âge. Blond, une large mèche déviée sur le côté cachait la moitié droite de son visage, l’œil gris , le nez fin et la bouche serrée. Il restait derrière le comptoir de son magasin de poterie a regardé passer devant lui les grand mères et les grand pères se plaindre du chat de la voisine. Bien qu'il fut un humble marchand parmis les humbles marchands, John ne gagnait pas un sou, pas la moindre piècette d'or, le moindre sersterce, le moindre euro non plus...
Hélas un jour il prit une décision et annonça haut et fort :
- Les clients ne s’intéressent plus au poterie, c’est fort dommage car aujourd’hui la dynastie Poterie Petebo est révolue, je m’en vais réaliser mon rêve d’enfance, dans deux jours je m’engage dans la marine marchande.
Si tôt dit si tôt fait il se pressa d’expulser les quelques vieillards cacochymes qui bloquaient la porte puis il alla fouiller le magasin de fond en comble pour finir par fourrer dans son sac plusieurs objets inutiles qu’il pensa judicieux d’apporter avec lui. Lorsque tout fut fin près il sortit de son magasin et réussit tant bien que mal à vendre son magasin à un prix fort honnête à un soit disant pêcheur des caraïbes qui lui paraissait louche. Cheveu long brun, maquillage autour des yeux, un bandana sur laquelle une pièce de huit pendait, un os d’un animale était inconnu par John dans les cheveux. L’étranger portait une fine moustache et lorsqu’il se la lissa a l'aide de ses doigts John remarqua qu’il possédait toutes sortes de bagues et de bijoux farfelus. Mais le plus étrange dans tous ceci c'est que le bonhomme avait une façon de marcher et de parler d’un homme saoûl et sentait particulièrement le rhum. Grâce à l’argent du magasin il acheta vivres et équipements. Mais Horreur il réalisa, mais un peu tard, qu’il n’avait pas acheté d’armes et d’armures et se jura de ne plus l’oublier. Il alla mendier les magasin d’armes pour un prêt
mais ceux-ci rièrent à son nez et le jetèrent dehors sans plus tarder.
Alors John seul dehors, triste et abandonner, se maudit, lui et son malheur. Devant tant de désespoir, la douce et petit fille qui l’observait de loin ne pu s’empêcher d’aller lui porter secours.
Elle se plaça devant lui
-bonjour
John regarda son interlocutrice dans les yeux et grogna :
-bonjour
-Vous voulez acheter une arme, dit-elle le sourire au lèvre
il se lamenta :
-j’aurai aimer parcourir les mers la lame a la main, le bouclier au bras et le courage au cœur., mais je ne le peut.
- si vous le voulez mon père saura vous fournir ce qu’il vous manque, dit la jeune fille ravie pouvoir faire cesser le calvaire du beau jeune homme, mon papa est le meilleur du monde et c’est le plus gentil.
L’œil de John se mit a briller tel la flamme du phare que l’on peut observe par le balcon le soir .et il suivis la fillette jusque dans la rue ou il avait tenu son ancienne boutique . Et la BAF HORREUR ! la jeune fille rentre cher le pire concurrent le vendeur de chamalo grillé. Il la suivis tout de même l’espoir au cœur.
- PAPA, y a le monsieur dans face qui veux te parler !
Un homme d’âge mur sorti d’un coin de la boutique ses yeux me défigurèrent puis il m’inspecta. Il garda un air peu confiant et dit :
- hum ! comme quoi le destin ne vous a pas réserver bonne accueille dans notre monde , John baissa honteusement la tête puis dit :
- je vais me présenter dans la marine marchande et m’y enrôler mais j’aurais besoin d’une lame et d’une armure adéquate.
- Les armures ne sont pas bon marché en se moment quel se qui pourrais vous faire croire que je vais vous en acheter une
- Je ne le sais, mais votre fille me la proposer
D’un seul coup la jeune fille dit :
- papa, mais papa donne lui se qu’il demande j’en ai vu une dans la galerie, et puis tu est le plus gentil des papas, dit t’elle avec un sourire niait et les yeux en étoiles.
- Ma petit fille c’est d’accord.
Puis le vendeur de chamalo grillé se tourna vers moi et dit :
- il se trouve en effet que je sois prédisposer a donner cette armure mais a une seule condition !
John se prépara au tout puis il dit déterminé :
- laquelle ?
l’homme lui fit signe de pénétrer dans le coin du il était sortit
- venez
le coin était en faite un merveilleux rideau de chamalo qui se fondait absolument avec le mur .puis au milieu des bourse de diverse sorte de chamalo il découvrit l’armure … avec ses deux lame au Foureau
C’était une magnifique armure de plaque étincelante en fer forger, chaque bordure était dorer mais il remarqua un petit dessins dessus et en s’approchant il eu bien fait de refuser l’offre car devant ses yeux ébahi chaque pièce de l’armure était composer des armoiries Chamolo yves grillé. C’était une armure pour faire de la pub au chamalo !!!!
C’était une armure pour faire de la pub au chamalo !!!!
- voilà, dit le vendeur de chamalo, c’est une armure pour la pub alors vous qui allez voyager je vous serez gré de bien vouloir la prendre. Et puis même si nous avons été concurrent tu n’est plus un potier alors sans rancœur.
- Heu… oui sans rancœur, dis John et il se serrèrent la main.
Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
Fort fatigué il alla dormir un peu a l’extérieur de la ville, durant cette nuit il rêva d’épique combat seul contre une armée entière de juste offensive contre de vil barbares sans cœur il s’y imaginai déjà, taillant pourfendant, perçant d’innombrables ennemies et créatures.
Au lever du jour il fut réveillé par le son du clocher voisin, il se leva et se prépara au grand jour. Lorsqu’il fut fin prêt il s’avança en direction du port. Plusieurs bateaux était amarrer et un homme a l’air morose et un corps bien bâti tenait l’entrée du port. Je me posta devant lui et annonça :
- John Petebo, j’appartient a une longue et glorieuse famille de potier certain de mes ancêtre ont participer a la guerre et en on sortit victorieux. Et j’aimerai pour ma part faire parti de la marine marchande.
L’homme sourit et dit :
- eh ben mon brave tu compte te trimbaler avec cet chose sur le dos. Je sais bien que les chamalo font fureur mais dit moi mon gars contre des indigènes et des barbares sans éducation je ne sais pas si ça aurai beaucoup d’effet pardi !
John rougi de honte
- et en plus te voilà rougissant comme une donzelle et ben fait voir au moins ce que tu as dans le ventre mon gaillard.
L’homme dégaina sont épée et attaqua. John lui ne trouva rien de mieux que de se coucher face contre terre et de rouler sur lui même pour ensuite se relever et dégainer sont épée, le colosse l’un bref coups lui fit perdre l’épée des main et lorsqu’il tenta de dégainer la seconde il se rendis compte qu’elle était fausse car celle ci était accrocher au fourreau et était fort légère.
Le marin me plaqua son épée contre la gorge et rit puis lança :
- Eh ben dit donc ma fillette même ma grand mère offre plus de résistance. Puis il retourna à sa place initiale en riant.
Ce fut ce moment précis ou le monde imaginaire de John , et ses plus grand rêve s’effondrèrent sous ses yeux. Au revoir lointain combat d’une époque révolue.
Il parti vagabonder seul dans la ville de ses ancêtres, il avait non seulement laisser le patrimoine familiale se consumer pour finir par l’abandonner mais il était aussi incapable de tenir un lame correctement. Il marchait lentement encore et encore quitta la ville sans vraiment s’en rendre compte puis au milieu des pins une brise souffla apportant avec elle une lueur d’espoir, lorsqu’elle caressa John il regarda le ciel et un sourire germa au creux de son visage. Pourquoi la marine marchand, un autre bateau partait dans 10 mois escortant la princesse ainsi que son jeune frère sur une petit île ou la tombe ancestrale de la famille royal occupait la majorité de l’île. Sa tante, son oncle et son grand père pourrait bien lui inculquer quelques notions très important dans leurs spécialités respectives.
Ils se mis en route sans plus tarder, un bâton a la main ramasser au bord de la route, les cheveux au vent qu’il avait soigneusement lavé la veille avec un échantillon du shampoing Lorelianne Exelsiore. En route vers les secrets de la magie, en route vers la propriété de ma tante, se dit il. Arrivé a Treguier il se mis en quête de la maison de sa tante. Ils demanda a un marchand de lui éclairer sa lanterne mais celui ci lui répondit :
- Eclairer vo’t lanterne…. Mais faudai d’Ja qu’ vous en ayé une de lanterne mon jeune ami.
Puis il retourna vendre ses maïs dans le récipient dans laquelle était disposé les légume un insigne était graver, John s’en approcha pour décrypter le mot : Bjorg
Puis vers le début d’après-midi je réussi a découvrir son logis. C’était une énorme demeure, avec un gigantesque jardin au mille couleurs et éclats. John frappa 3 fois a la porte et comme personne pris la peine de lui ouvrir ou de lui répondre John osa ouvrir de lui même la grande porte. Puis annonça d’une vois claire :
- Y a personne !!! ou a t’il quelqu’un ???
Puis il sursauta en voyant le chat assit sur la table basse disposer au fond de la pièce. Le chat était en train de le dévisager puis d’un seul coup le chat bondit puis il se métamorphosa et laissa place ainsi a la tante. John était bouche bée par ce qu’il venait de voir , la tante était âgée, elle se tenait droite, son visage laissai clairement voir qu’elle était femme sévère et peu enclin a se laisser bernée facilement. Elle était habillée d’un somptueuse robe verte émeraude frottant le sol et coiffée d’un grand chapeau du même coloris que sa tenu et accompagne de grande plume. Ses cheveux était attaché en un parfais chignon et la vielle dame portait de mince lunette.
- Qui êtes vous clinquant voyageur, dit ‘elle faisant référence a ma pitoyable armure.
Ma tante, s’exclama John
- Tante ?
- Je suis John, c’est moi.
- AAAAhh, M.Petebo, vous avez bien changé depuis la dernière fois que je vous vue, vous étiez encore dans votre berceau !!
- Ma tante vous qui êtes sage et rusé je viens quérir votre aide.
- Que vous faut-il Mr. Petebo ?
- Je veux que vous m’enseigneriez la magie ! s’exclama t’il
- T’apprendre la magie, s’étonna t-elle, je crains que cela ne vous soie impossible cher neveu car vous ne sembler avoir aucune prédisposition .
- Mais essayer, juste les bases !!!
John se mit a genoux et supplia sa tante
- hum, d’accord M. Petebo mais juste les bases et je veux que dans trois mois vous ayez quitter cette demeure, nous ne somme pas dans une école de magie ici ! Me suis- je bien fais comprendre M. Petebo.
- Oui professeur !
- Très bien vous dormirez dans l’allé est près du jardin des plantes, je vous ferais préparer un lit et vous viendrez vous restaurer dans la grande salle.
Trois long mois suivirent cette scène entre formules, potions et sortilèges. John était piètre magicien, il connaissait formule, recette et technique, la volonté y était mais le don lui semblait ne pas venir. Lors du départs lui et son professeur se retrouvèrent dans la même salle que leur première entrevus :
- vous voilà fin près a partir M. Petebo,
- Oui professeur !
- Bien , je tien a vous préciser que pour quelqu’un qui na aucune prédisposition magique , vous vous êtes bien débrouiller, dit-elle en faisant le seul sourire qu’il reçu pendant les longs mois.
John hocha lentement la tête en signe de remerciement et la tante écarta les bras et l’embrassa(traduction…. L’enlaça^^ ) puis s’écarta puis déclara :
- va maintenant digne successeur part vers les multiple voyage que te réserve les mystère du monde, je le vois en toi tu est destiner a faire de grande chose dans ta vie.
Bien qu’il n’eu pas très bien comprend le sens de cette phrase, John parti tout de même le baume au cœur.
Ils se rendit au limite de la Bretagne la ou commençai la limite des terres barbares de Loire atlantique (^^), John arriva enfin devant une petite maisonnette entourer de prés et de potager bien garnis avec plusieurs enclos ou une multitudes de chèvre,, moutons, vaches, broutai lentement tous en vaquant a leur occupation diverse, certaine tricotait tout en fumant la pipe pendant que d’autre faisait des courses ou des jets de laits, car son grand père était connu pour ses animaux qu’il avait dresser a faire des actions humaines.
Il se positionna devant la porte sur laquelle un écriteau était affiché.
« Chez Ornak Guillaume Maïll ( OGM), animaux savant pour crétin qui savent rien faire et maïs qui se cuisine seul. Frapper avant d’entré, puis appuyer sur la sonnette pour faire sortir la cloche, sonner faite trois tour sur vous même puis saisissez vous de la poigner baisser la lentement ( qui casse paye ) puis pousser lentement ( qui casse paye). Je rappelle a mon aimable clientèle que les action doivent être faites dans l’ordre indiqué ci dessus(qui casse Paye !!!!). merci»
John frappa doucement puis appuya sur la sonnette comme indiquer. Une cloche apparu a ses cote. Il la fit sonner sans forcer puis il fit trois tour sur lui même puis il fit attention a ouvrir la porte avec douceur et précaution puis la referma .
Un vieille homme était début avec une liste dans les mains. Puis devant une ribambelle de petit lutin postulai devant lui . le vieux qui se trouvai être le propriétaire du magasin dit au premier petit homme :
- Quel est le doigt de la magie, tout en montrant ses doigt
- Heuu celui la , dit le premier .
Le vielle homme hocha la tête puis passa au second en refermant le doigt qu’avait designer le petit homme. Puis le second novice désigna un autre doigt. Tous passèrent sans trouver le doigt de la magie .
- Pas d’apprenti cette année !!!
Tous les petits hommes sortir du magasin puis tu un coups au fond de la pièce John entendit une voix récitant comme une formule magique puis cette voix dit :
- mesdames et messieurs devant vos yeux se cochon va disparaître.
Il reprit son incantation puis un bruit de drap résonna la salle et la foula acclama le jeune lutin. Puis lorsque John s’approcha puis le petit homme avait un drap dans les main puis d’un coup le cochon sensé avoir disparu sortit d’en dessus de l’estrade puis le pseudo magicien se jeta a sa poursuite.
Le vielle homme s’approcha de John, il était aussi petit que les autres.
- jeune homme quel est le doigt de la magie ?
Savant son cour de magie par cœur il répondit sans hésiter :
- ben le mien ?
Le vielle homme écarquilla les yeux et appela
- Willow, willow !! vient ici nous avons un nouvel apprenti !!!
- Le pseudo magicien accoura puis se positionna au cote du vieille homme
- Mais je ne cherche pas a être un apprenti, assura John
- Comment, mais alors pourquoi est tu ici, quand je pense que le seul qui trouve le doigt magique est celui qui ne veux pas devenir le magnifique novice de OGM , dit le vieux tout en commencent a partir .
- Je suis venu apprendre le maniement des armes auprès de vous grand père !
Le Propriétaire se stoppa et jeta un coup d’œil en arrière.
- John, mon petit te voilà je me demandait quand est ce que tu viendrai rendre visite a ton cher grand père.
Alors que le petit vieil homme leva les bras pour tenter de m’enlacer je vis nettement que le dénommé Willow avait d’autre projets en tête que de celui de regarder joyeusement les retrouvaille entre deux parents. C’est alors qu’un raffut ce fis entendre au fond des galeries. Un brouhaha de choc successif d’objets en ferraille . c’est alors que mon grand-père pris une ampleur spirituel qui envahi la pièce a telle point que je cru presque que la torche de Willow allait s’éteindre sous son influence. Le vieille homme dit alors :
- Willow !!
- Oui Maître !
- Va voir ce que cette homme veux puis montre lui comment nous traitons les homme de son envergure.
Le petit homme couru vers les profonde galerie
- je te conseil de le suivre, tu apprendra sans aucun doutes quelque fondement de l’art du combat ou de la raillerie, car l’homme dans cette cage n’est pas en manque d’imagination lorsqu’il s’agit de rabaisser l’ennemie et cela mon petit fils est très important, déstabiliser l’ennemi.
Je me mis a la poursuite du gnome. Lorsque je fus arriver un grand homme au cheveux brun long relâché sur ces épaules accompagne d’une ou deux tresses
-Que veut tu prisonnier ?
- j’ai soif !
- et ? Que veux tu que cela me fasse ?
- Rien je veux de l’eau !
- Tu peux toujours courir, cela t’apprendra a dévoiler les recettes de maître OGM au autre producteur.
- Tu refuse de me donner de l’eau PEC !
- Ne m’appelle pas PEC !
- PEC, pec ,pec pec pec pec pec
- Arrête, ordonna Willow tout en brandissant au creux de sa main un gland très commun, sinon je te change en pierre
Le prisonnier devin livide puis se précipita a l’arrière de la cage et hurla
- Au secours, il y a un Pec qui me menace ! il a un gland dans la main ! alors que le prisonnier s’étala pouffant de rire les joue du petit homme devinrent rose puis rouge et Willow fini par s’enfuirent toute en pleurant
- Grand maître le prisonnier il est méchant !!!!
dsl white j'ai pas pu ecrire le post en un seul. trop long !^^
Au lever du jour il fut réveillé par le son du clocher voisin, il se leva et se prépara au grand jour. Lorsqu’il fut fin prêt il s’avança en direction du port. Plusieurs bateaux était amarrer et un homme a l’air morose et un corps bien bâti tenait l’entrée du port. Je me posta devant lui et annonça :
- John Petebo, j’appartient a une longue et glorieuse famille de potier certain de mes ancêtre ont participer a la guerre et en on sortit victorieux. Et j’aimerai pour ma part faire parti de la marine marchande.
L’homme sourit et dit :
- eh ben mon brave tu compte te trimbaler avec cet chose sur le dos. Je sais bien que les chamalo font fureur mais dit moi mon gars contre des indigènes et des barbares sans éducation je ne sais pas si ça aurai beaucoup d’effet pardi !
John rougi de honte
- et en plus te voilà rougissant comme une donzelle et ben fait voir au moins ce que tu as dans le ventre mon gaillard.
L’homme dégaina sont épée et attaqua. John lui ne trouva rien de mieux que de se coucher face contre terre et de rouler sur lui même pour ensuite se relever et dégainer sont épée, le colosse l’un bref coups lui fit perdre l’épée des main et lorsqu’il tenta de dégainer la seconde il se rendis compte qu’elle était fausse car celle ci était accrocher au fourreau et était fort légère.
Le marin me plaqua son épée contre la gorge et rit puis lança :
- Eh ben dit donc ma fillette même ma grand mère offre plus de résistance. Puis il retourna à sa place initiale en riant.
Ce fut ce moment précis ou le monde imaginaire de John , et ses plus grand rêve s’effondrèrent sous ses yeux. Au revoir lointain combat d’une époque révolue.
Il parti vagabonder seul dans la ville de ses ancêtres, il avait non seulement laisser le patrimoine familiale se consumer pour finir par l’abandonner mais il était aussi incapable de tenir un lame correctement. Il marchait lentement encore et encore quitta la ville sans vraiment s’en rendre compte puis au milieu des pins une brise souffla apportant avec elle une lueur d’espoir, lorsqu’elle caressa John il regarda le ciel et un sourire germa au creux de son visage. Pourquoi la marine marchand, un autre bateau partait dans 10 mois escortant la princesse ainsi que son jeune frère sur une petit île ou la tombe ancestrale de la famille royal occupait la majorité de l’île. Sa tante, son oncle et son grand père pourrait bien lui inculquer quelques notions très important dans leurs spécialités respectives.
Ils se mis en route sans plus tarder, un bâton a la main ramasser au bord de la route, les cheveux au vent qu’il avait soigneusement lavé la veille avec un échantillon du shampoing Lorelianne Exelsiore. En route vers les secrets de la magie, en route vers la propriété de ma tante, se dit il. Arrivé a Treguier il se mis en quête de la maison de sa tante. Ils demanda a un marchand de lui éclairer sa lanterne mais celui ci lui répondit :
- Eclairer vo’t lanterne…. Mais faudai d’Ja qu’ vous en ayé une de lanterne mon jeune ami.
Puis il retourna vendre ses maïs dans le récipient dans laquelle était disposé les légume un insigne était graver, John s’en approcha pour décrypter le mot : Bjorg
Puis vers le début d’après-midi je réussi a découvrir son logis. C’était une énorme demeure, avec un gigantesque jardin au mille couleurs et éclats. John frappa 3 fois a la porte et comme personne pris la peine de lui ouvrir ou de lui répondre John osa ouvrir de lui même la grande porte. Puis annonça d’une vois claire :
- Y a personne !!! ou a t’il quelqu’un ???
Puis il sursauta en voyant le chat assit sur la table basse disposer au fond de la pièce. Le chat était en train de le dévisager puis d’un seul coup le chat bondit puis il se métamorphosa et laissa place ainsi a la tante. John était bouche bée par ce qu’il venait de voir , la tante était âgée, elle se tenait droite, son visage laissai clairement voir qu’elle était femme sévère et peu enclin a se laisser bernée facilement. Elle était habillée d’un somptueuse robe verte émeraude frottant le sol et coiffée d’un grand chapeau du même coloris que sa tenu et accompagne de grande plume. Ses cheveux était attaché en un parfais chignon et la vielle dame portait de mince lunette.
- Qui êtes vous clinquant voyageur, dit ‘elle faisant référence a ma pitoyable armure.
Ma tante, s’exclama John
- Tante ?
- Je suis John, c’est moi.
- AAAAhh, M.Petebo, vous avez bien changé depuis la dernière fois que je vous vue, vous étiez encore dans votre berceau !!
- Ma tante vous qui êtes sage et rusé je viens quérir votre aide.
- Que vous faut-il Mr. Petebo ?
- Je veux que vous m’enseigneriez la magie ! s’exclama t’il
- T’apprendre la magie, s’étonna t-elle, je crains que cela ne vous soie impossible cher neveu car vous ne sembler avoir aucune prédisposition .
- Mais essayer, juste les bases !!!
John se mit a genoux et supplia sa tante
- hum, d’accord M. Petebo mais juste les bases et je veux que dans trois mois vous ayez quitter cette demeure, nous ne somme pas dans une école de magie ici ! Me suis- je bien fais comprendre M. Petebo.
- Oui professeur !
- Très bien vous dormirez dans l’allé est près du jardin des plantes, je vous ferais préparer un lit et vous viendrez vous restaurer dans la grande salle.
Trois long mois suivirent cette scène entre formules, potions et sortilèges. John était piètre magicien, il connaissait formule, recette et technique, la volonté y était mais le don lui semblait ne pas venir. Lors du départs lui et son professeur se retrouvèrent dans la même salle que leur première entrevus :
- vous voilà fin près a partir M. Petebo,
- Oui professeur !
- Bien , je tien a vous préciser que pour quelqu’un qui na aucune prédisposition magique , vous vous êtes bien débrouiller, dit-elle en faisant le seul sourire qu’il reçu pendant les longs mois.
John hocha lentement la tête en signe de remerciement et la tante écarta les bras et l’embrassa(traduction…. L’enlaça^^ ) puis s’écarta puis déclara :
- va maintenant digne successeur part vers les multiple voyage que te réserve les mystère du monde, je le vois en toi tu est destiner a faire de grande chose dans ta vie.
Bien qu’il n’eu pas très bien comprend le sens de cette phrase, John parti tout de même le baume au cœur.
Ils se rendit au limite de la Bretagne la ou commençai la limite des terres barbares de Loire atlantique (^^), John arriva enfin devant une petite maisonnette entourer de prés et de potager bien garnis avec plusieurs enclos ou une multitudes de chèvre,, moutons, vaches, broutai lentement tous en vaquant a leur occupation diverse, certaine tricotait tout en fumant la pipe pendant que d’autre faisait des courses ou des jets de laits, car son grand père était connu pour ses animaux qu’il avait dresser a faire des actions humaines.
Il se positionna devant la porte sur laquelle un écriteau était affiché.
« Chez Ornak Guillaume Maïll ( OGM), animaux savant pour crétin qui savent rien faire et maïs qui se cuisine seul. Frapper avant d’entré, puis appuyer sur la sonnette pour faire sortir la cloche, sonner faite trois tour sur vous même puis saisissez vous de la poigner baisser la lentement ( qui casse paye ) puis pousser lentement ( qui casse paye). Je rappelle a mon aimable clientèle que les action doivent être faites dans l’ordre indiqué ci dessus(qui casse Paye !!!!). merci»
John frappa doucement puis appuya sur la sonnette comme indiquer. Une cloche apparu a ses cote. Il la fit sonner sans forcer puis il fit trois tour sur lui même puis il fit attention a ouvrir la porte avec douceur et précaution puis la referma .
Un vieille homme était début avec une liste dans les mains. Puis devant une ribambelle de petit lutin postulai devant lui . le vieux qui se trouvai être le propriétaire du magasin dit au premier petit homme :
- Quel est le doigt de la magie, tout en montrant ses doigt
- Heuu celui la , dit le premier .
Le vielle homme hocha la tête puis passa au second en refermant le doigt qu’avait designer le petit homme. Puis le second novice désigna un autre doigt. Tous passèrent sans trouver le doigt de la magie .
- Pas d’apprenti cette année !!!
Tous les petits hommes sortir du magasin puis tu un coups au fond de la pièce John entendit une voix récitant comme une formule magique puis cette voix dit :
- mesdames et messieurs devant vos yeux se cochon va disparaître.
Il reprit son incantation puis un bruit de drap résonna la salle et la foula acclama le jeune lutin. Puis lorsque John s’approcha puis le petit homme avait un drap dans les main puis d’un coup le cochon sensé avoir disparu sortit d’en dessus de l’estrade puis le pseudo magicien se jeta a sa poursuite.
Le vielle homme s’approcha de John, il était aussi petit que les autres.
- jeune homme quel est le doigt de la magie ?
Savant son cour de magie par cœur il répondit sans hésiter :
- ben le mien ?
Le vielle homme écarquilla les yeux et appela
- Willow, willow !! vient ici nous avons un nouvel apprenti !!!
- Le pseudo magicien accoura puis se positionna au cote du vieille homme
- Mais je ne cherche pas a être un apprenti, assura John
- Comment, mais alors pourquoi est tu ici, quand je pense que le seul qui trouve le doigt magique est celui qui ne veux pas devenir le magnifique novice de OGM , dit le vieux tout en commencent a partir .
- Je suis venu apprendre le maniement des armes auprès de vous grand père !
Le Propriétaire se stoppa et jeta un coup d’œil en arrière.
- John, mon petit te voilà je me demandait quand est ce que tu viendrai rendre visite a ton cher grand père.
Alors que le petit vieil homme leva les bras pour tenter de m’enlacer je vis nettement que le dénommé Willow avait d’autre projets en tête que de celui de regarder joyeusement les retrouvaille entre deux parents. C’est alors qu’un raffut ce fis entendre au fond des galeries. Un brouhaha de choc successif d’objets en ferraille . c’est alors que mon grand-père pris une ampleur spirituel qui envahi la pièce a telle point que je cru presque que la torche de Willow allait s’éteindre sous son influence. Le vieille homme dit alors :
- Willow !!
- Oui Maître !
- Va voir ce que cette homme veux puis montre lui comment nous traitons les homme de son envergure.
Le petit homme couru vers les profonde galerie
- je te conseil de le suivre, tu apprendra sans aucun doutes quelque fondement de l’art du combat ou de la raillerie, car l’homme dans cette cage n’est pas en manque d’imagination lorsqu’il s’agit de rabaisser l’ennemie et cela mon petit fils est très important, déstabiliser l’ennemi.
Je me mis a la poursuite du gnome. Lorsque je fus arriver un grand homme au cheveux brun long relâché sur ces épaules accompagne d’une ou deux tresses
-Que veut tu prisonnier ?
- j’ai soif !
- et ? Que veux tu que cela me fasse ?
- Rien je veux de l’eau !
- Tu peux toujours courir, cela t’apprendra a dévoiler les recettes de maître OGM au autre producteur.
- Tu refuse de me donner de l’eau PEC !
- Ne m’appelle pas PEC !
- PEC, pec ,pec pec pec pec pec
- Arrête, ordonna Willow tout en brandissant au creux de sa main un gland très commun, sinon je te change en pierre
Le prisonnier devin livide puis se précipita a l’arrière de la cage et hurla
- Au secours, il y a un Pec qui me menace ! il a un gland dans la main ! alors que le prisonnier s’étala pouffant de rire les joue du petit homme devinrent rose puis rouge et Willow fini par s’enfuirent toute en pleurant
- Grand maître le prisonnier il est méchant !!!!
dsl white j'ai pas pu ecrire le post en un seul. trop long !^^
Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
Pas envie de lire^^
Thanquol- Repenti
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Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
Pffff éspèce de pas courageu!
Génial Arak! Même si il y a pas mal de fautes on a envi de connaitre la fin.
Génial Arak! Même si il y a pas mal de fautes on a envi de connaitre la fin.
Kwaam- Roi de la Trempette
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Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
- Au secours, il y a un Pec qui me menace ! il a un gland dans la main ! alors que le prisonnier s’étala pouffant de rire les joue du petit homme devinrent rose puis rouge et Willow fini par s’enfuirent toute en pleurant
- Grand maître le prisonnier il est méchant !!!!
- HAHAHAHAHA… et toi donne moi de l’eau !, hurla le prisonnier en la faveur de John, allez dépêche toi j’ai soif !
- Non, répondit spontanément John.
- NON ? et tu ose m’exposer un refus inconnu.
- Oui j’ose !
- Fais attention…
- Vous n’êtes pas en mesure de me dictée ne serais une menace
- Mais…
- Et j’aurai franchement honte a votre place réussir a ce faire avoir par des pygmée nain, ce pas très héroïque comme échec.
- Ce n’est pas ses misérable insecte qui mon attrapé pour ton information,
Il ricana et repris :
- Tu pensai réellement que j’avais été capture par ces gnomes.
- Non en effet tu na pas été capture par ses petit personnages, interrompit une femme miniature pas plus grande qu’un doigt, mais par une femme . puis elle hurla de rire et ces congénère en firent autant .
L’un d’entre eux lança
- Sans dire qu’il s’agit en plus de notre cher Ernialis, tu est dans cette cage a cause d’une femme miniature.
La vérité révéler tous rire a son dépend et le prisonnier fut couvert de honte.
John retraversa la galerie a contre sens et se retrouva dans le hall de la petite maisonnette . Son vieux grand père n’était plus la il décida d’inspecter les lieu.
La porte par laquelle il était rentré la toute première fois était en bois de sureau, elle donnait sur une pièce de forme ovale de taille respectable les murs étaient en boue séché et le toit en paille, les cadres montrait les différentes peinture du triomphe OGM et des prestigieux apprentis du maître des lieux. Un bureau en demi cercle en bois de chêne faisait office de réception et derrière le petit réceptionniste une grande fresque montrait le faste domaine OGM . une entré a gauche du bureau donnait sur la vaste galerie qui s’enfonçait en profondeur.
John alla se renseigne sur le lieu ou il pouvait trouver OGM, le petit homme lui donna un plan et entoura le bureau de son supérieur. Sur le carte était representé le dommaine entier OGM avec chaque culture, chaque maisonnette, chaque arbre et je vis que le bureau OGM se trouvait au fond des marais OGM qui permettait la production des multiples virus et bactérie OGM, bien que John ne compris pas ces mots il se mis en route.
- Grand maître le prisonnier il est méchant !!!!
- HAHAHAHAHA… et toi donne moi de l’eau !, hurla le prisonnier en la faveur de John, allez dépêche toi j’ai soif !
- Non, répondit spontanément John.
- NON ? et tu ose m’exposer un refus inconnu.
- Oui j’ose !
- Fais attention…
- Vous n’êtes pas en mesure de me dictée ne serais une menace
- Mais…
- Et j’aurai franchement honte a votre place réussir a ce faire avoir par des pygmée nain, ce pas très héroïque comme échec.
- Ce n’est pas ses misérable insecte qui mon attrapé pour ton information,
Il ricana et repris :
- Tu pensai réellement que j’avais été capture par ces gnomes.
- Non en effet tu na pas été capture par ses petit personnages, interrompit une femme miniature pas plus grande qu’un doigt, mais par une femme . puis elle hurla de rire et ces congénère en firent autant .
L’un d’entre eux lança
- Sans dire qu’il s’agit en plus de notre cher Ernialis, tu est dans cette cage a cause d’une femme miniature.
La vérité révéler tous rire a son dépend et le prisonnier fut couvert de honte.
John retraversa la galerie a contre sens et se retrouva dans le hall de la petite maisonnette . Son vieux grand père n’était plus la il décida d’inspecter les lieu.
La porte par laquelle il était rentré la toute première fois était en bois de sureau, elle donnait sur une pièce de forme ovale de taille respectable les murs étaient en boue séché et le toit en paille, les cadres montrait les différentes peinture du triomphe OGM et des prestigieux apprentis du maître des lieux. Un bureau en demi cercle en bois de chêne faisait office de réception et derrière le petit réceptionniste une grande fresque montrait le faste domaine OGM . une entré a gauche du bureau donnait sur la vaste galerie qui s’enfonçait en profondeur.
John alla se renseigne sur le lieu ou il pouvait trouver OGM, le petit homme lui donna un plan et entoura le bureau de son supérieur. Sur le carte était representé le dommaine entier OGM avec chaque culture, chaque maisonnette, chaque arbre et je vis que le bureau OGM se trouvait au fond des marais OGM qui permettait la production des multiples virus et bactérie OGM, bien que John ne compris pas ces mots il se mis en route.
Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
Tiens donc... Ca me donne envie de montrer mon histoire... Mwouahahahahaha !!!! Pas mal Arak, c'est tellement plus facile quand je ne suis pas là n'est-ce pas ?
Isp- Maître de la Taverne
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Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
Mais bon dieu comment sa va ce terminer?!
Kwaam- Roi de la Trempette
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Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
Un bureau en demi cercle en bois de chêne faisait office de réception et derrière le petit réceptionniste une grande fresque montrait le faste domaine OGM . une entré a gauche du bureau donnait sur la vaste galerie qui s’enfonçait en profondeur.
John alla se renseigne sur le lieu ou il pouvait trouver OGM, le petit homme lui donna un plan et entoura le bureau de son supérieur. Sur le carte était représenté le domaine entier OGM avec chaque culture, chaque maisonnette, chaque arbre et il vis que le bureau OGM se trouvait au fond des marais OGM qui permettait la production des multiples virus et bactérie OGM, bien que John ne compris pas ces mots il se mis en route.
Apres être avoir passe la bananière (une foret d’arbre avec des étrange fruit jaune qui font mal a la tête lorsque l’on se les prend), les plaines hydratante( dans laquelle John ne voyait pas ce qu’il y avait d’hydratant, et enfin la verdoyante pampa John arriva enfin a la frontière du domaine administratif la ou le bureau y était situé, il y arriva enfin , puis enfin il ouvrit la porte et enfin il y pénétra pour qu’enfin…
La suite au prochaine épisode ... AHAHAHAHA
John alla se renseigne sur le lieu ou il pouvait trouver OGM, le petit homme lui donna un plan et entoura le bureau de son supérieur. Sur le carte était représenté le domaine entier OGM avec chaque culture, chaque maisonnette, chaque arbre et il vis que le bureau OGM se trouvait au fond des marais OGM qui permettait la production des multiples virus et bactérie OGM, bien que John ne compris pas ces mots il se mis en route.
Apres être avoir passe la bananière (une foret d’arbre avec des étrange fruit jaune qui font mal a la tête lorsque l’on se les prend), les plaines hydratante( dans laquelle John ne voyait pas ce qu’il y avait d’hydratant, et enfin la verdoyante pampa John arriva enfin a la frontière du domaine administratif la ou le bureau y était situé, il y arriva enfin , puis enfin il ouvrit la porte et enfin il y pénétra pour qu’enfin…
La suite au prochaine épisode ... AHAHAHAHA
Dernière édition par le 03/11/07, 10:52 pm, édité 1 fois
Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
C'est encore mieu qu'Eragon.
Kwaam- Roi de la Trempette
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Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
(attention Arak, tu passes parfois du présent au passé ^^)
Isp- Maître de la Taverne
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Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
puis enfin il ouvrit la porte et enfin il y pénétra pour qu’enfin il se retrouva au milieu dans magnifique et somptueux bureau VIDE !!! Sur les quelques tables environnantes des fioles de taille et de dimension très variable étaient prédisposées des brumes coloré s’élevaient lentement se confondant en un brouillard jaunâtre.
La sur le bureau de bois doré au reflet d’argent où plusieurs symbole bizarre et incompréhensible y étaient inscrit tel que ou et au sol fait de dalle brillante et nacré . John repéra un petit mot bloqué entre deux fiole , un Erlenmeyer et un ballon a fond rond comme le précisait le petit parchemin accroché par un pâte collante sur le mur. John lança un regard camouflé au mots de peur qu’on ne le surprenne à espionner .
« John Si tu lis se message c’est que tu est parvenu à mon bureau, je ne peux te recevoir et j’en suis désolé je viens d’être convoqué par le conseil des cinq mages commandité par un vieil homme puissant et sage maître de l’ordre dénommé Sarouman. Pourquoi veulent-il me voir je n’en sais rien encore mais je crains que c’est a cause du petit accident de Sauron l’un de mes ouvriers qui aurai jouer avec un anneau enfin rien de très grave. Mais en ce qui concerne ta formation je connais quelqu’un qui pourrais te l’assurer, il s’agit de mon propre formateur, il est puissant et un peu rustre mais il saura te dévoiler l’art du combat. Je te présente encore mais excuses. »
La lettre était signée d’un nom illisible . John se demandait se que l’ouvrier avait-il bien pu faire se faire convoquer par le conseil de la tour d’Isengard . Mais il se demandai qui était se fameux formateur si puissant qui a l’air de ne pas craindre d’être craint. Puis il se retourna et se mis en tête de sortir mais il fut stoppé par un bruit sourd qui percuta les mur du bureau. Sur le sol au centre du symbole une épaisse fumé apparu et alla rejoindre le brouillard. Lorsqu’elle fut enfin dissipée un nouveau mot apparu.
« Je suis confus, j’ai oublié de te préciser qui sera ton tuteur et surtout ou le trouver tu m’excusera… il se prénomme Skywalker, Anakin Skywalker. C’est un maître en combat singulier et un expert en combat a l’épée et en tactique offensive. Je t’envoie également sa représentation :
je ne te le cacherai pas, il est fort difficile a trouver et il ne se laisse pas déranger pas n’importe qui. Ne lui dit surtout pas que tu viens de ma part il se pourrais que tu finisse découpé en petite rondelle. Dit lui simplement que tu souhaite le suivre dans ses victoires et ses aventures, avoir ne serais que 10% de son art au sabre, n’oublie surtout pas de flatter son égaux et ne mentionne jamais son maître si tu venait a y faire allusion oublie tes rêves d’escapades. Bon je tes a peu prés tout dit, commence tes recherches au petit village en Armorique, bien que rural il reste très connu par ses ennemies les romain mais je ne t’en dit pas plus ils sauront de quoi tu parle tout de suite . sur ce je te laisse …
signature illisible
P.S : il se peut que Anakin est un peut changer alors ne te fis pas trop a sa peinture . »
La sur le bureau de bois doré au reflet d’argent où plusieurs symbole bizarre et incompréhensible y étaient inscrit tel que ou et au sol fait de dalle brillante et nacré . John repéra un petit mot bloqué entre deux fiole , un Erlenmeyer et un ballon a fond rond comme le précisait le petit parchemin accroché par un pâte collante sur le mur. John lança un regard camouflé au mots de peur qu’on ne le surprenne à espionner .
« John Si tu lis se message c’est que tu est parvenu à mon bureau, je ne peux te recevoir et j’en suis désolé je viens d’être convoqué par le conseil des cinq mages commandité par un vieil homme puissant et sage maître de l’ordre dénommé Sarouman. Pourquoi veulent-il me voir je n’en sais rien encore mais je crains que c’est a cause du petit accident de Sauron l’un de mes ouvriers qui aurai jouer avec un anneau enfin rien de très grave. Mais en ce qui concerne ta formation je connais quelqu’un qui pourrais te l’assurer, il s’agit de mon propre formateur, il est puissant et un peu rustre mais il saura te dévoiler l’art du combat. Je te présente encore mais excuses. »
La lettre était signée d’un nom illisible . John se demandait se que l’ouvrier avait-il bien pu faire se faire convoquer par le conseil de la tour d’Isengard . Mais il se demandai qui était se fameux formateur si puissant qui a l’air de ne pas craindre d’être craint. Puis il se retourna et se mis en tête de sortir mais il fut stoppé par un bruit sourd qui percuta les mur du bureau. Sur le sol au centre du symbole une épaisse fumé apparu et alla rejoindre le brouillard. Lorsqu’elle fut enfin dissipée un nouveau mot apparu.
« Je suis confus, j’ai oublié de te préciser qui sera ton tuteur et surtout ou le trouver tu m’excusera… il se prénomme Skywalker, Anakin Skywalker. C’est un maître en combat singulier et un expert en combat a l’épée et en tactique offensive. Je t’envoie également sa représentation :
je ne te le cacherai pas, il est fort difficile a trouver et il ne se laisse pas déranger pas n’importe qui. Ne lui dit surtout pas que tu viens de ma part il se pourrais que tu finisse découpé en petite rondelle. Dit lui simplement que tu souhaite le suivre dans ses victoires et ses aventures, avoir ne serais que 10% de son art au sabre, n’oublie surtout pas de flatter son égaux et ne mentionne jamais son maître si tu venait a y faire allusion oublie tes rêves d’escapades. Bon je tes a peu prés tout dit, commence tes recherches au petit village en Armorique, bien que rural il reste très connu par ses ennemies les romain mais je ne t’en dit pas plus ils sauront de quoi tu parle tout de suite . sur ce je te laisse …
signature illisible
P.S : il se peut que Anakin est un peut changer alors ne te fis pas trop a sa peinture . »
Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
HS( un admin pourrat supr ce poste)
arak à poster
il l'a dit
il l'a fait!
arak à poster
il l'a dit
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Psyc0- "Gentil canard"
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Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
c'est quoi cette histoire de mes deux je comprend plus rien j'abandonne ...adieu cher compagnon je quitte ce topic dignement, en ayant la tête haute et en vous emmerdant bien profond (oups désolé)
Ryûku- Corsica Péon
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Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
John s’empressa de quitter le somptueux bureau. Qui était ce mystérieux et puissant épéiste, où se cachait-il ? La hâte de découvrir les réponses à ses multiples et innombrables questions était telle qu’il ne fit pas attention à la marche et il se retrouva face contre terre le nez dans la boue. Maudissant son manque d’attention et son impétuosité, il se releva. Sa chemise était couverte de boue ainsi que son pantalon, mais la boue était rentrée dedans et le bruit de ses pas était égal au bruit qu’il faisait en marchant dans un bourbier. Il était assit là sur un petit murais de pierre haïssant sa malchance et la mauvaise fortune que lui faisait subir les dieux . Comme-ci ceux là l’avaient entendu et voulurent se racheter un halo de lumière blanc se matérialisa aveuglant John. Essayant de percé la saisissante lumière divine, il entendit une voix mélodieuse et grave a la fois :
- mortelle te voilà bien sale… cela m’attriste mais ne t’inquiète pas je vais tout de suite arranger cela.
La lumière dissipé laissa place a un grand homme musclé, sans cheveux. Il était vêtu d’une façon peu commune, i portait une chemise sans col, sans lacet et sans manche. Ce qui étonna John était la façon dont le tissus était tissé, celui ci laissa apparaître très clairement chaque muscle de la divinité. Quant au pantalon, il n’en avait pas !! John avait beau tourné autant de fois qu’il le voulait autour de cette étrange personne il ne vis qu’un amas de fumé qui débutait au niveau du bassin pour finir par une pointe. Impressionné par la forme musculaire du personnage John tenta :
-Mars ?
- Au non malheureux je ne suis pas Mars ! je suis le génie de la propreté !
En trois tour de main, John se trouva vêtu d’un magnifique armure en cuir doublé de fer, ses anciennes genouillères ainsi que ses bottes furent remplacées par d’élégante botte noir remontants jusqu’aux mollet .et accompagné d’un collant qui lui donnait un air très noble. Son casque chamalow fut remplacé par un large chapeau noir accompagné de séduisantes plumes blanches, enfin une cape lui retomba sur ses épaules lui passant devant le poitrail, ne laissant apparaître que les abdominaux de l’armure. Elle était rouge avec des motifs doré sur les bords.
- mortelle te voilà bien sale… cela m’attriste mais ne t’inquiète pas je vais tout de suite arranger cela.
La lumière dissipé laissa place a un grand homme musclé, sans cheveux. Il était vêtu d’une façon peu commune, i portait une chemise sans col, sans lacet et sans manche. Ce qui étonna John était la façon dont le tissus était tissé, celui ci laissa apparaître très clairement chaque muscle de la divinité. Quant au pantalon, il n’en avait pas !! John avait beau tourné autant de fois qu’il le voulait autour de cette étrange personne il ne vis qu’un amas de fumé qui débutait au niveau du bassin pour finir par une pointe. Impressionné par la forme musculaire du personnage John tenta :
-Mars ?
- Au non malheureux je ne suis pas Mars ! je suis le génie de la propreté !
En trois tour de main, John se trouva vêtu d’un magnifique armure en cuir doublé de fer, ses anciennes genouillères ainsi que ses bottes furent remplacées par d’élégante botte noir remontants jusqu’aux mollet .et accompagné d’un collant qui lui donnait un air très noble. Son casque chamalow fut remplacé par un large chapeau noir accompagné de séduisantes plumes blanches, enfin une cape lui retomba sur ses épaules lui passant devant le poitrail, ne laissant apparaître que les abdominaux de l’armure. Elle était rouge avec des motifs doré sur les bords.
Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
mon dieu, mais ca se barre en couille xD
Isp- Maître de la Taverne
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Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
L'apparition de Mr Propre.
Kwaam- Roi de la Trempette
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Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
falait bien qu'il apparaisse quelque part
Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
pour sur vive la taverne
Au passage, pour toi Arak --- > Gaelle
Au passage, pour toi Arak --- > Gaelle
Isp- Maître de la Taverne
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Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
... hummmm j'ai la flem de lire moi aujourd'hui
Ryûku- Corsica Péon
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Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
-Genie.. pourquoi moi?
-toi, parce que le destin ta choisi! tu est un etre unique John, tu ne le sais surement pas encore mais les dieu ton choisi pour une mission.
- Un etre unique, en moi je les toujours su, je savais que j'était doté d'une puissance!
-non en verité, tu est banal, j'ai dis cela juste pour la mise en scene.
-ahhh.
Le génie parti en fumer laissant petebo a son dessespoir.Mais continua sa route vers son son futur maitre... Skywalker.
Il marcha longtemp , très longtemps et arriva a un fort romain... suivant les indications qu'on lui avait donner il entra dans le camp. Malheur celui ci était desert. Il n'y avait personne, seulement les trace de combat violents et sans merci.
Il continua sa route... se dirigeant vers la foret.
-toi, parce que le destin ta choisi! tu est un etre unique John, tu ne le sais surement pas encore mais les dieu ton choisi pour une mission.
- Un etre unique, en moi je les toujours su, je savais que j'était doté d'une puissance!
-non en verité, tu est banal, j'ai dis cela juste pour la mise en scene.
-ahhh.
Le génie parti en fumer laissant petebo a son dessespoir.Mais continua sa route vers son son futur maitre... Skywalker.
Il marcha longtemp , très longtemps et arriva a un fort romain... suivant les indications qu'on lui avait donner il entra dans le camp. Malheur celui ci était desert. Il n'y avait personne, seulement les trace de combat violents et sans merci.
Il continua sa route... se dirigeant vers la foret.
Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
Mais c'est la journée des RP?
A quand la suite des aventures de Petebo?!
A quand la suite des aventures de Petebo?!
Kwaam- Roi de la Trempette
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Date d'inscription : 15/10/2006
Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
je vais la faire avancer un peu... mais jusqua ou j'en sais rien
Re: L'Histoire qui n'aurai pas du etre connu ...fut raconté
Par contre... Ce serait bien que tu nous fasses un résumé des épisodes précédents avant de continuer, parce qu'en lisant ton dernier ajout, j'avoue que je suis un peu perdue !
White Mamba- Reine des Fumbles
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Date d'inscription : 21/03/2006
John le retour
mesdames, mesdemoiselles,messieurs j'ai l'honneur et j'en suis fière de pouvoir vous annoncer le retour exceptionnel de John petebo....
Notre histoire commence a Kerpouic (
haute bretagne nord) chez John petebo jeune breton d'une illustre
famille d'artisant breton qui pratiquait la poterie, naguère leur
gloire et leur atrs avait atteint son apogée mais hélas la boutique
de chamalo grille d'a coté leur a oppose une concurrence contre
laquelle ils ne pouvais ressister bien lontemps. Hélas aujourd'hui
cette prestigieuse famille n'a laisser derriere elle qu'un orphelin
de 21 ans, impusif et timide a la fois. John était aussi d'une
nature assez bagareuse et son caractère lui attirait plus d'enuie
qu'il n'en resolvait mais il s'y était fait avec l'age. Blond, une
large meche devier sur le cote cachais la moitier droite de son
visage, l'oeil gris , le nez fin et la bouche serre. il restait
derriere le comptoir de son magasion de poterie a regarder passer
devant lui les grand meres et les grand peres se plaindre du chat de
la voisine. Bien qu'il fut un humble marchand parmis les humbles
marchands, John ne gagnait pas un sou, pas la moindre piecette d'or,
le moindre cersterce, le moindre euro non plus... Hélas un jour il
pris une décision et annonça haut et fort :
- les clients ne
s’intéresse plus au poterie, c’est fort dommage car aujourd’hui
la dynastie Poterie Petebo est révolue, je m’en vais réaliser mon
rêve d’enfance, dans deux jours je m’engage dans la marine
marchande.
Sitôt dit sitôt fais il se pressa d’expulser les
quelques vieillard cacochymes qui bloquait la porte puis il alla
fouiller le magasin de font en cumble pour finir par fourrer dans son
sac plusieurs objets inutiles qu’il pensa judicieux d’apporter
avec lui. Lorsque tout fut fin près il sortit de son magasin et
réussit tant bien que mal a vendre son magasin a un prix fort
honnête a un soit disant pêcheur des caraïbes qui lui paraissait
louche. Cheveu long brun, maquillage autour des yeux, un bandana sur
laquelle une pièce de huit pendait, un os d’un animale était
inconnu par John dans les cheveux. L’étranger portait un fin
moustache et lorsque qu’il se la lissa a laide de ses doigts John
remarqua qu’il possédait toutes sortes de bagues de bijoux
farfelue .Mais le plus étrange dans tous ceci ces que le bonhomme
avait une façon de marcher et de parler d’un homme soul et sentait
particulièrement le rhum. Grâce a l’argent du magasin il acheta
vivre et équipement. Mais Horreur il réalisa mais un peu tard qu’il
n’avait pas acheté d’armes et d’armure et se jura de ne plus
l’oublier. Il alla mendier les magasin d’armes pour un prêt
mais ceux ci rire a son nez
et le jeter dehors sans plus
tarder.
Alors John seul dehors, triste et abandonner, maudit lui
et son malheur. Devant tant de désespoir la douce et petit fille qui
l’observait de loin ne pu s’empêcher d’aller lui porter
secours. Elle se plaça devant lui
-bonjour
John regarda son
interlocutrice dans les yeux et grogna :
-bonjour
-Vous voulez
acheter une arme, dit-elle le sourire au lèvre
il se lamenta
:
-j’aurai aimer parcourir les mers la lame a la main, le
bouclier au bras et le courage au cœur., mais je ne le peut.
- si
vous le voulez mon père saura vous fournir ce qu’il vous manque,
dit la jeune fille ravie pouvoir faire cesser le calvaire du beau
jeune homme, mon papa est le meilleur du monde et c’est le plus
gentil.
L’œil de John se mit a briller tel la flamme du phare
que l’on peut observe par le balcon le soir .et il suivis la
fillette jusque dans la rue ou il avait tenu son ancienne boutique .
Et la BAF HORREUR ! la jeune fille rentre cher le pire concurrent le
vendeur de chamalo grillé. Il la suivis tout de même l’espoir au
cœur.
- PAPA, y a le monsieur dans face qui veux te parler !
Un
homme d’âge mur sorti d’un coin de la boutique ses yeux me
défigurèrent puis il m’inspecta. Il garda un air peu confiant et
dit :
- hum ! comme quoi le destin ne vous a pas réserver bonne
accueille dans notre monde , John baissa honteusement la tête puis
dit :
- je vais me présenter dans la marine marchande et m’y
enrôler mais j’aurais besoin d’une lame et d’une armure
adéquate.
- Les armures ne sont pas bon marché en se moment quel
se qui pourrais vous faire croire que je vais vous en acheter une
-
Je ne le sais, mais votre fille me la proposer
D’un seul
coup la jeune fille dit :
- papa, mais papa donne lui se qu’il
demande j’en ai vu une dans la galerie, et puis tu est le plus
gentil des papas, dit t’elle avec un sourire niait et les yeux en
étoiles.
- Ma petit fille c’est d’accord.
Puis le vendeur
de chamalo grillé se tourna vers moi et dit :
- il se trouve en
effet que je sois prédisposer a donner cette armure mais a une seule
condition !
john se prepara au tout puis il dit déterminé :
-
laquelle ?
l’homme lui fit signe de pénétrer dans le coin
du il était sortit
- venez
le coin était en faite un
merveilleux rideau de chamalo qui se fondait absolument avec le mur
.puis au milieu des bourse de diverse sorte de chamalo il découvrit
l’armure … avec ses deux lame au foureau
C’était une
magnifique armure de plaque étincelante en fer forger, chaque
bordure était dorer mais il remarqua un petit dessins dessus et en
s’approchant il eu bien fait de refuser l’offre car devant ses
yeux ébahi chaque pièce de l’armure était composer des armoiries
Chamolo yves grillé. C’était une armure pour faire de la pub au
chamalo !!!! C’était une armure pour faire de la pub au chamalo
!!!!
- voilà, dit le vendeur de chamalo, c’est une armure pour
la pub alors vous qui allez voyager je vous serez gré de bien
vouloir la prendre. Et puis même si nous avons été concurrent tu
n’est plus un potier alors sans rancœur.
- Heu… oui sans
rancœur, dis John et il se serrèrent la main.
Fort fatigué
il alla dormir un peu a l’extérieur de la ville, durant cette nuit
il rêva d’épique combat seul contre une armée entière de juste
offensive contre de vil barbares sans cœur il s’y imaginai déjà,
taillant pourfendant, perçant d’innombrables ennemies et
créatures.
Au lever du jour il fut réveillé par le son du
clocher voisin, il se leva et se prépara au grand jour. Lorsqu’il
fut fin prêt il s’avança en direction du port. Plusieurs bateaux
était amarrer et un homme a l’air morose et un corps bien bâti
tenait l’entrée du port. Je me posta devant lui et annonça :
-
John Petebo, j’appartient a une longue et glorieuse famille de
potier certain de mes ancêtre ont participer a la guerre et en on
sortit victorieux. Et j’aimerai pour ma part faire parti de la
marine marchande.
L’homme sourit et dit :
- eh ben mon brave
tu compte te trimbaler avec cet chose sur le dos. Je sais bien que
les chamalo font fureur mais dit moi mon gars contre des indigènes
et des barbares sans éducation je ne sais pas si ça aurai beaucoup
d’effet pardi !
John rougi de honte
- et en plus te voilà
rougissant comme une donzelle et ben fait voir au moins ce que tu as
dans le ventre mon gaillard.
L’homme dégaina sont épée et
attaqua. John lui ne trouva rien de mieux que de se coucher face
contre terre et de rouler sur lui même pour ensuite se relever et
dégainer sont épée, le colosse l’un bref coups lui fit perdre
l’épée des main et lorsqu’il tenta de dégainer la seconde il
se rendis compte qu’elle était fausse car celle ci était
accrocher au fourreau et était fort légère. Le marin me plaqua son
épée contre la gorge et rit puis lanca :
- Eh ben dit donc ma
fillette même ma grand mère offre plus de résistance. Puis il
retourna à sa place initiale en riant.
Ce fut ce moment précis
ou le monde imaginaire de John , et ses plus grand rêve
s’effondrèrent sous ses yeux. Au revoir lointain combat d’une
époque révolue.
Il parti vagabonder seul dans la ville de ses
ancêtres, il avait non seulement laisser le patrimoine familiale se
consumer pour finir par l’abandonner mais il était aussi incapable
de tenir un lame correctement. Il marchait lentement encore et encore
quitta la ville sans vraiment s’en rendre compte puis au milieu des
pins une brise souffla apportant avec elle une lueur d’espoir,
lorsqu’elle caressa John il regarda le ciel et un sourire germa au
creux de son visage. Pourquoi la marine marchand, un autre bateau
partait dans 10 mois escortant la princesse ainsi que son jeune frère
sur une petit île ou la tombe ancestrale de la famille royal
occupait la majorité de l’île. Sa tante, son oncle et son grand
père pourrait bien lui inculquer quelques notions très important
dans leurs spécialités respectives.
Ils se mis en route sans
plus tarder, un bâton a la main ramasser au bord de la route, les
cheveux au vent qu’il avait soigneusement lavé la veille avec un
échantillon du shampoing Lorelianne Exelsiore. En route vers les
secrets de la magie, en route vers la propriété de ma tante, se dit
il. Arrivé a Treguier il se mis en quête de la maison de sa tante.
Ils demanda a un marchand de lui éclairer sa lanterne mais celui ci
lui répondit :
- Eclairer vo’t lanterne…. Mais faudai d’Ja
qu’ vous en ayé une de lanterne mon jeune ami.
Puis il retourna
vendre ses maïs dans le récipient dans laquelle était disposé les
légume un insigne était graver, John s’en approcha pour décrypter
le mot : Bjorg
Puis vers le début d’après-midi je réussi a
découvrir son logis. C’était une énorme demeure, avec un
gigantesque jardin au mille couleurs et éclats. John frappa 3 fois a
la porte et comme personne pris la peine de lui ouvrir ou de lui
répondre John osa ouvrir de lui même la grande porte. Puis annonça
d’une vois claire :
- Y a personne !!! ou a t’il quelqu’un
???
Puis il sursauta en voyant le chat assit sur la table basse
disposer au fond de la pièce. Le chat était en train de le
dévisager puis d’un seul coup le chat bondit puis il se
métamorphosa et laissa place ainsi a la tante. John était bouche
bée par ce qu’il venait de voir , la tante était âgée, elle se
tenait droite, son visage laissai clairement voir qu’elle était
femme sévère et peu enclin a se laisser bernée facilement. Elle
était habillée d’un somptueuse robe verte émeraude frottant le
sol et coiffée d’un grand chapeau du même coloris que sa tenu et
accompagne de grande plume. Ses cheveux était attaché en un parfais
chignon et la vielle dame portait de mince lunette.
- Qui êtes
vous clinquant voyageur, dit ‘elle faisant référence a ma
pitoyable armure.
Trois long mois suivirent cette scène
entre formules, potions et sortilèges. John était piètre magicien,
il connaissait formule, recette et technique, la volonté y était
mais le don lui semblait ne pas venir. Lors du départs lui et son
professeur se retrouvèrent dans la même salle que leur première
entrevus :
- vous voilà fin près a partir M. Petebo,
- Oui
professeur !
- Bien , je tien a vous préciser que pour quelqu’un
qui na aucune prédisposition magique , vous vous êtes bien
débrouiller, dit-elle en faisant le seul sourire qu’il reçu
pendant les longs mois.
John hocha lentement la tête en signe de
remerciement et la tante écarta les bras et l’embrassa(traduction….
L’enlaça^^ ) puis s’écarta puis déclara :
Notre histoire commence a Kerpouic (
haute bretagne nord) chez John petebo jeune breton d'une illustre
famille d'artisant breton qui pratiquait la poterie, naguère leur
gloire et leur atrs avait atteint son apogée mais hélas la boutique
de chamalo grille d'a coté leur a oppose une concurrence contre
laquelle ils ne pouvais ressister bien lontemps. Hélas aujourd'hui
cette prestigieuse famille n'a laisser derriere elle qu'un orphelin
de 21 ans, impusif et timide a la fois. John était aussi d'une
nature assez bagareuse et son caractère lui attirait plus d'enuie
qu'il n'en resolvait mais il s'y était fait avec l'age. Blond, une
large meche devier sur le cote cachais la moitier droite de son
visage, l'oeil gris , le nez fin et la bouche serre. il restait
derriere le comptoir de son magasion de poterie a regarder passer
devant lui les grand meres et les grand peres se plaindre du chat de
la voisine. Bien qu'il fut un humble marchand parmis les humbles
marchands, John ne gagnait pas un sou, pas la moindre piecette d'or,
le moindre cersterce, le moindre euro non plus... Hélas un jour il
pris une décision et annonça haut et fort :
- les clients ne
s’intéresse plus au poterie, c’est fort dommage car aujourd’hui
la dynastie Poterie Petebo est révolue, je m’en vais réaliser mon
rêve d’enfance, dans deux jours je m’engage dans la marine
marchande.
Sitôt dit sitôt fais il se pressa d’expulser les
quelques vieillard cacochymes qui bloquait la porte puis il alla
fouiller le magasin de font en cumble pour finir par fourrer dans son
sac plusieurs objets inutiles qu’il pensa judicieux d’apporter
avec lui. Lorsque tout fut fin près il sortit de son magasin et
réussit tant bien que mal a vendre son magasin a un prix fort
honnête a un soit disant pêcheur des caraïbes qui lui paraissait
louche. Cheveu long brun, maquillage autour des yeux, un bandana sur
laquelle une pièce de huit pendait, un os d’un animale était
inconnu par John dans les cheveux. L’étranger portait un fin
moustache et lorsque qu’il se la lissa a laide de ses doigts John
remarqua qu’il possédait toutes sortes de bagues de bijoux
farfelue .Mais le plus étrange dans tous ceci ces que le bonhomme
avait une façon de marcher et de parler d’un homme soul et sentait
particulièrement le rhum. Grâce a l’argent du magasin il acheta
vivre et équipement. Mais Horreur il réalisa mais un peu tard qu’il
n’avait pas acheté d’armes et d’armure et se jura de ne plus
l’oublier. Il alla mendier les magasin d’armes pour un prêt
mais ceux ci rire a son nez
et le jeter dehors sans plus
tarder.
Alors John seul dehors, triste et abandonner, maudit lui
et son malheur. Devant tant de désespoir la douce et petit fille qui
l’observait de loin ne pu s’empêcher d’aller lui porter
secours. Elle se plaça devant lui
-bonjour
John regarda son
interlocutrice dans les yeux et grogna :
-bonjour
-Vous voulez
acheter une arme, dit-elle le sourire au lèvre
il se lamenta
:
-j’aurai aimer parcourir les mers la lame a la main, le
bouclier au bras et le courage au cœur., mais je ne le peut.
- si
vous le voulez mon père saura vous fournir ce qu’il vous manque,
dit la jeune fille ravie pouvoir faire cesser le calvaire du beau
jeune homme, mon papa est le meilleur du monde et c’est le plus
gentil.
L’œil de John se mit a briller tel la flamme du phare
que l’on peut observe par le balcon le soir .et il suivis la
fillette jusque dans la rue ou il avait tenu son ancienne boutique .
Et la BAF HORREUR ! la jeune fille rentre cher le pire concurrent le
vendeur de chamalo grillé. Il la suivis tout de même l’espoir au
cœur.
- PAPA, y a le monsieur dans face qui veux te parler !
Un
homme d’âge mur sorti d’un coin de la boutique ses yeux me
défigurèrent puis il m’inspecta. Il garda un air peu confiant et
dit :
- hum ! comme quoi le destin ne vous a pas réserver bonne
accueille dans notre monde , John baissa honteusement la tête puis
dit :
- je vais me présenter dans la marine marchande et m’y
enrôler mais j’aurais besoin d’une lame et d’une armure
adéquate.
- Les armures ne sont pas bon marché en se moment quel
se qui pourrais vous faire croire que je vais vous en acheter une
-
Je ne le sais, mais votre fille me la proposer
D’un seul
coup la jeune fille dit :
- papa, mais papa donne lui se qu’il
demande j’en ai vu une dans la galerie, et puis tu est le plus
gentil des papas, dit t’elle avec un sourire niait et les yeux en
étoiles.
- Ma petit fille c’est d’accord.
Puis le vendeur
de chamalo grillé se tourna vers moi et dit :
- il se trouve en
effet que je sois prédisposer a donner cette armure mais a une seule
condition !
john se prepara au tout puis il dit déterminé :
-
laquelle ?
l’homme lui fit signe de pénétrer dans le coin
du il était sortit
- venez
le coin était en faite un
merveilleux rideau de chamalo qui se fondait absolument avec le mur
.puis au milieu des bourse de diverse sorte de chamalo il découvrit
l’armure … avec ses deux lame au foureau
C’était une
magnifique armure de plaque étincelante en fer forger, chaque
bordure était dorer mais il remarqua un petit dessins dessus et en
s’approchant il eu bien fait de refuser l’offre car devant ses
yeux ébahi chaque pièce de l’armure était composer des armoiries
Chamolo yves grillé. C’était une armure pour faire de la pub au
chamalo !!!! C’était une armure pour faire de la pub au chamalo
!!!!
- voilà, dit le vendeur de chamalo, c’est une armure pour
la pub alors vous qui allez voyager je vous serez gré de bien
vouloir la prendre. Et puis même si nous avons été concurrent tu
n’est plus un potier alors sans rancœur.
- Heu… oui sans
rancœur, dis John et il se serrèrent la main.
Fort fatigué
il alla dormir un peu a l’extérieur de la ville, durant cette nuit
il rêva d’épique combat seul contre une armée entière de juste
offensive contre de vil barbares sans cœur il s’y imaginai déjà,
taillant pourfendant, perçant d’innombrables ennemies et
créatures.
Au lever du jour il fut réveillé par le son du
clocher voisin, il se leva et se prépara au grand jour. Lorsqu’il
fut fin prêt il s’avança en direction du port. Plusieurs bateaux
était amarrer et un homme a l’air morose et un corps bien bâti
tenait l’entrée du port. Je me posta devant lui et annonça :
-
John Petebo, j’appartient a une longue et glorieuse famille de
potier certain de mes ancêtre ont participer a la guerre et en on
sortit victorieux. Et j’aimerai pour ma part faire parti de la
marine marchande.
L’homme sourit et dit :
- eh ben mon brave
tu compte te trimbaler avec cet chose sur le dos. Je sais bien que
les chamalo font fureur mais dit moi mon gars contre des indigènes
et des barbares sans éducation je ne sais pas si ça aurai beaucoup
d’effet pardi !
John rougi de honte
- et en plus te voilà
rougissant comme une donzelle et ben fait voir au moins ce que tu as
dans le ventre mon gaillard.
L’homme dégaina sont épée et
attaqua. John lui ne trouva rien de mieux que de se coucher face
contre terre et de rouler sur lui même pour ensuite se relever et
dégainer sont épée, le colosse l’un bref coups lui fit perdre
l’épée des main et lorsqu’il tenta de dégainer la seconde il
se rendis compte qu’elle était fausse car celle ci était
accrocher au fourreau et était fort légère. Le marin me plaqua son
épée contre la gorge et rit puis lanca :
- Eh ben dit donc ma
fillette même ma grand mère offre plus de résistance. Puis il
retourna à sa place initiale en riant.
Ce fut ce moment précis
ou le monde imaginaire de John , et ses plus grand rêve
s’effondrèrent sous ses yeux. Au revoir lointain combat d’une
époque révolue.
Il parti vagabonder seul dans la ville de ses
ancêtres, il avait non seulement laisser le patrimoine familiale se
consumer pour finir par l’abandonner mais il était aussi incapable
de tenir un lame correctement. Il marchait lentement encore et encore
quitta la ville sans vraiment s’en rendre compte puis au milieu des
pins une brise souffla apportant avec elle une lueur d’espoir,
lorsqu’elle caressa John il regarda le ciel et un sourire germa au
creux de son visage. Pourquoi la marine marchand, un autre bateau
partait dans 10 mois escortant la princesse ainsi que son jeune frère
sur une petit île ou la tombe ancestrale de la famille royal
occupait la majorité de l’île. Sa tante, son oncle et son grand
père pourrait bien lui inculquer quelques notions très important
dans leurs spécialités respectives.
Ils se mis en route sans
plus tarder, un bâton a la main ramasser au bord de la route, les
cheveux au vent qu’il avait soigneusement lavé la veille avec un
échantillon du shampoing Lorelianne Exelsiore. En route vers les
secrets de la magie, en route vers la propriété de ma tante, se dit
il. Arrivé a Treguier il se mis en quête de la maison de sa tante.
Ils demanda a un marchand de lui éclairer sa lanterne mais celui ci
lui répondit :
- Eclairer vo’t lanterne…. Mais faudai d’Ja
qu’ vous en ayé une de lanterne mon jeune ami.
Puis il retourna
vendre ses maïs dans le récipient dans laquelle était disposé les
légume un insigne était graver, John s’en approcha pour décrypter
le mot : Bjorg
Puis vers le début d’après-midi je réussi a
découvrir son logis. C’était une énorme demeure, avec un
gigantesque jardin au mille couleurs et éclats. John frappa 3 fois a
la porte et comme personne pris la peine de lui ouvrir ou de lui
répondre John osa ouvrir de lui même la grande porte. Puis annonça
d’une vois claire :
- Y a personne !!! ou a t’il quelqu’un
???
Puis il sursauta en voyant le chat assit sur la table basse
disposer au fond de la pièce. Le chat était en train de le
dévisager puis d’un seul coup le chat bondit puis il se
métamorphosa et laissa place ainsi a la tante. John était bouche
bée par ce qu’il venait de voir , la tante était âgée, elle se
tenait droite, son visage laissai clairement voir qu’elle était
femme sévère et peu enclin a se laisser bernée facilement. Elle
était habillée d’un somptueuse robe verte émeraude frottant le
sol et coiffée d’un grand chapeau du même coloris que sa tenu et
accompagne de grande plume. Ses cheveux était attaché en un parfais
chignon et la vielle dame portait de mince lunette.
- Qui êtes
vous clinquant voyageur, dit ‘elle faisant référence a ma
pitoyable armure.
Ma tante, s’exclama John
-
Tante ?
- Je suis John, c’est moi.
- AAAAhh, M.Petebo, vous
avez bien changé depuis la dernière fois que je vous vue, vous
étiez encore dans votre berceau !!
- Ma tante vous qui êtes
sage et rusé je viens quérir votre aide.
- Que vous faut-il Mr.
Petebo ?
- Je veux que vous m’enseigneriez la magie ! s’exclama
t’il
- T’apprendre la magie, s’étonna t-elle, je crains
que cela ne vous soie impossible cher neveu car vous ne sembler
avoir aucune prédisposition .
- Mais essayer, juste les bases
!!!
John se mit a genoux et supplia sa tante
- hum, d’accord
M. Petebo mais juste les bases et je veux que dans trois mois vous
ayez quitter cette demeure, nous ne somme pas dans une école de
magie ici ! Me suis- je bien fais comprendre M. Petebo.
- Oui
professeur !
- Très bien vous dormirez dans l’allé est près
du jardin des plantes, je vous ferais préparer un lit et vous
viendrez vous restaurer dans la grande salle.
Trois long mois suivirent cette scène
entre formules, potions et sortilèges. John était piètre magicien,
il connaissait formule, recette et technique, la volonté y était
mais le don lui semblait ne pas venir. Lors du départs lui et son
professeur se retrouvèrent dans la même salle que leur première
entrevus :
- vous voilà fin près a partir M. Petebo,
- Oui
professeur !
- Bien , je tien a vous préciser que pour quelqu’un
qui na aucune prédisposition magique , vous vous êtes bien
débrouiller, dit-elle en faisant le seul sourire qu’il reçu
pendant les longs mois.
John hocha lentement la tête en signe de
remerciement et la tante écarta les bras et l’embrassa(traduction….
L’enlaça^^ ) puis s’écarta puis déclara :
John hocha lentement la tête en
signe de remerciement et la tante écarta les bras et
l’embrassa(traduction…. L’enlaça^^ ) puis s’écarta puis
déclara :
- va maintenant digne successeur part vers les
multiple voyage que te réserve les mystère du monde, je le vois en
toi tu est destiner a faire de grande chose dans ta vie.
Bien
qu’il n’eu pas très bien comprend le sens de cette phrase, John
parti tout de même le baume au cœur.
...
Ils se rendit au limite de la
Bretagne la ou commençai la limite des terres barbares de Loire
atlantique (^^), John arriva enfin devant une petite maisonnette
entourer de prés et de potager bien garnis avec plusieurs enclos ou
une multitudes de chèvre,, moutons, vaches, broutai lentement tous
en vaquant a leur occupation diverse, certaine tricotait tout en
fumant la pipe pendant que d’autre faisait des courses ou des jets
de laits, car son grand père était connu pour ses animaux qu’il
avait dresser a faire des actions humaines.
Il se positionna
devant la porte sur laquelle un écriteau était affiché.
«
Chez Ornak Guillaume Maïll ( OGM), animaux savant pour crétin qui
savent rien faire et maïs qui se cuisine seul. Frapper avant
d’entré, puis appuyer sur la sonnette pour faire sortir la
cloche, sonner faite trois tour sur vous même puis saisissez vous
de la poigner baisser la lentement ( qui casse paye ) puis pousser
lentement ( qui casse paye). Je rappelle a mon aimable clientèle
que les action doivent être faites dans l’ordre indiqué ci
dessus(qui casse Paye !!!!). merci»
John frappa doucement
puis appuya sur la sonnette comme indiquer. Une cloche apparu a ses
cote. Il la fit sonner sans forcer puis il fit trois tour sur lui
même puis il fit attention a ouvrir la porte avec douceur et
précaution puis la referma . Un vieille homme était début avec
une liste dans les mains. Puis devant une ribambelle de petit lutin
postulai devant lui . le vieux qui se trouvai être le propriétaire
du magasin dit au premier petit homme :
- Quel est le doigt de la
magie, tout en montrant ses doigt
- Heuu celui la , dit le
premier .
Le vielle homme hocha la tête puis passa au second en
refermant le doigt qu’avait designer le petit homme. Puis le
second novice désigna un autre doigt. Tous passèrent sans trouver
le doigt de la magie .
- Pas d’apprenti cette année !!!
Tous
les petits hommes sortir du magasin puis tu un coups au fond de la
pièce John entendit une voix récitant comme une formule magique
puis cette voix dit :
- mesdames et messieurs devant vos yeux se
cochon va disparaître.
Il reprit son incantation puis un bruit
de drap résonna la salle et la foula acclama le jeune lutin. Puis
lorsque John s’approcha puis le petit homme avait un drap dans les
main puis d’un coup le cochon sensé avoir disparu sortit d’en
dessus de l’estrade puis le pseudo magicien se jeta a sa
poursuite.
Le vielle homme s’approcha de John, il était
aussi petit que les autres.
- jeune homme quel est le doigt de la
magie ?
Savant son cour de magie par cœur il répondit sans
hésiter :
- ben le mien ?
Le vielle homme écarquilla les
yeux et appela
- Willow, willow !! vient ici nous avons un nouvel
apprenti !!!
- Le pseudo magicien accoura puis se positionna au
cote du vieille homme
- Mais je ne cherche pas a être un
apprenti, assura John
- Comment, mais alors pourquoi est tu ici,
quand je pense que le seul qui trouve le doigt magique est celui qui
ne veux pas devenir le magnifique novice de OGM , dit le vieux tout
en commencent a partir .
- Je suis venu apprendre le maniement
des armes auprès de vous grand père !
Le Propriétaire se
stoppa et jeta un coup d’œil en arrière.
- John, mon petit te
voilà je me demandait quand est ce que tu viendrai rendre visite a
ton cher grand pere.
Alors que le petit vieil homme
leva les bras pour tenter de m’enlacer je vis nettement que le
dénommé Willow avait d’autre projets en tête que de celui de
regarder joyeusement les retrouvaille entre deux parents. C’est
alors qu’un raffut ce fis entendre au fond des galeries. Un
brouhaha de choc successif d’objets en ferraille . c’est alors
que mon grand-père pris une ampleur spirituel qui envahi la pièce
a telle point que je cru presque que la torche de Willow allait
s’éteindre sous son influence. Le vieille homme dit alors :
-
Willow !!
- Oui Maître !
- Va voir ce que cette homme veux
puis montre lui comment nous traitons les homme de son envergure.
Le
petit homme couru vers les profonde galerie
- je te conseil de le
suivre, tu apprendra sans aucun doutes quelque fondement de l’art
du combat ou de la raillerie, car l’homme dans cette cage n’est
pas en manque d’imagination lorsqu’il s’agit de rabaisser
l’ennemie et cela mon petit fils est très important, déstabiliser
l’ennemi.
Je me mis a la poursuite du gnome. Lorsque je fus
arriver un grand homme au cheveux brun long relâché sur ces
épaules accompagne d’une ou deux tresses
-Que veut tu
prisonnier ?
- j’ai soif !
- et ? Que veux tu que cela me
fasse ?
- Rien je veux de l’eau !
- Tu peux toujours courir,
cela t’apprendra a dévoiler les recettes de maître OGM au autre
producteur.
- Tu refuse de me donner de l’eau PEC !
- Ne
m’appelle pas PEC !
- PEC, pec ,pec pec pec pec pec
-
Arrête, ordonna Willow tout en brandissant au creux de sa main un
gland très commun, sinon je te change en pierre
Le prisonnier
devin livide puis se précipita a l’arrière de la cage et hurla
- Au secours, il y a un Pec qui me menace ! il a un gland dans
la main ! alors que le prisonnier s’étala pouffant de rire les
joue du petit homme devinrent rose puis rouge et Willow fini par
s’enfuirent toute en pleurant
- Grand maître le prisonnier il
est méchant !!!!
Au secours, il y a un Pec qui me
menace ! il a un gland dans la main ! alors que le prisonnier
s’étala pouffant de rire les joue du petit homme devinrent rose
puis rouge et Willow fini par s’enfuirent toute en pleurant
-
Grand maître le prisonnier il est méchant !!!!
- HAHAHAHAHA…
et toi donne moi de l’eau !, hurla le prisonnier en la faveur de
John, allez dépêche toi j’ai soif !
- Non, répondit
spontanément John.
- NON ? et tu ose m’exposer un refus
inconnu.
- Oui j’ose !
- Fais attention…
- Vous n’êtes
pas en mesure de me dictée ne serais une menace
- Mais…
-
Et j’aurai franchement honte a votre place réussir a ce faire
avoir par des pygmée nain, ce pas très héroïque comme échec.
-
Ce n’est pas ses misérable insecte qui mon attrapé pour ton
information,
Il ricana et repris :
- Tu pensai réellement
que j’avais été capture par ces gnomes.
- Non en effet tu na
pas été capture par ses petit personnages, interrompit une femme
miniature pas plus grande qu’un doigt, mais par une femme . puis
elle hurla de rire et ces congénère en firent autant .
L’un
d’entre eux lança
- Sans dire qu’il s’agit en plus de
notre cher Ernialis, tu est dans cette cage a cause d’une femme
miniature.
La vérité révéler tous rire a son dépend et le
prisonnier fut couvert de honte.
John retraversa la galerie a
contre sens et se retrouva dans le hall de la petite maisonnette .
Son vieux grand père n’était plus la il décida d’inspecter
les lieu.
La porte par laquelle il était rentré la toute
première fois était en bois de sureau, elle donnait sur une pièce
de forme ovale de taille respectable les murs étaient en boue séché
et le toit en paille, les cadres montrait les différentes peinture
du triomphe OGM et des prestigieux apprentis du maître des lieux.
Un bureau en demi cercle en bois de chêne faisait office de
réception et derrière le petit réceptionniste une grande fresque
montrait le faste domaine OGM . une entré a gauche du bureau
donnait sur la vaste galerie qui s’enfonçait en profondeur.
John
alla se renseigne sur le lieu ou il pouvait trouver OGM, le petit
homme lui donna un plan et entoura le bureau de son supérieur. Sur
le carte était representé le dommaine entier OGM avec chaque
culture, chaque maisonnette, chaque arbre et je vis que le bureau
OGM se trouvait au fond des marais OGM qui permettait la production
des multiples virus et bactérie OGM, bien que John ne compris pas
ces mots il se mis en route. Un bureau en demi cercle en bois de
chêne faisait office de réception et derrière le petit
réceptionniste une grande fresque montrait le faste domaine OGM .
une entré a gauche du bureau donnait sur la vaste galerie qui
s’enfonçait en profondeur.
John alla se renseigne sur le lieu
ou il pouvait trouver OGM, le petit homme lui donna un plan et
entoura le bureau de son supérieur. Sur le carte était représenté
le domaine entier OGM avec chaque culture, chaque maisonnette,
chaque arbre et il vis que le bureau OGM se trouvait au fond des
marais OGM qui permettait la production des multiples virus et
bactérie OGM, bien que John ne compris pas ces mots il se mis en
route.
Apres être avoir passe la bananière (une foret d’arbre
avec des étrange fruit jaune qui font mal a la tête lorsque l’on
se les prend), les plaines hydratante( dans laquelle John ne voyait
pas ce qu’il y avait d’hydratant, et enfin la verdoyante pampa
John arriva enfin a la frontière du domaine administratif la ou le
bureau y était situé, il y arriva enfin , puis enfin il ouvrit la
porte et enfin il y pénétra pour qu’enfin…
puis enfin il
ouvrit la porte et enfin il y pénétra pour qu’enfin il se
retrouva au milieu dans magnifique et somptueux bureau VIDE !!! Sur
les quelques tables environnantes des fioles de taille et de
dimension très variable étaient prédisposées des brumes coloré
s’élevaient lentement se confondant en un brouillard jaunâtre.
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